Alors qu'on parle beaucoup des examens,points, j'ai voulu par ce post, émettre une touche poétique à la criminologie en créant un nouveau concept qui s'intitule: la poésie criminologique. Peut-être, serons-nous les premiers à innover dans un genre poétique d'une toute autre catégorie? En tout cas, j'ouvre le bal et espère que d'autres créateurs suivront...
Ce texte,je l'ai rédigé suite aux cours de M. Adam, et décrit un passage momentané chez nous les hommes...ou chez plutôt chez certains d'entre nous, car on ne peut généraliser...
L’origine du Mal(e) par B.X.
Grâce aux apports de certains cours, les aspects particuliers de la vie s’éclaircissent
Et le caractère volage de l’homme m’est enfin compris,
Originellement, l’homme est fidèle lorsqu’amoureux pour la première fois
Allant même jusqu’au mariage parfois,
Il est doté d’une grande émotivité et générosité
Ayant pour effet que la soif de câlin de sa dulcinée atteigne chaque jour la satiété,
Souffrant d’une grande sensibilité insoupçonnée
Il pourrait avec ses pleurs, une rivière, façonner
Il est capable d’exprimer ses sentiments de manière concise
Pouvant attiser chaque jour la flamme de l’être aimé et conquise,
Sachant habilement éviter de se soumettre à la tentation
Il n’a, pour sa femme, que d’yeux et d’attention,
Pour elle, il peut être un Dieu et aussi la considérer comme sa seule déesse
L’adulant et la vénérant, elle, cette créature semblant si parfaite et sans faiblesses
Mais un jour, les paresses de fidélité, chez la femme, apparaissent,
Venant finalement à la consommation d’un être obscur
Pour qu’une transformation, chez le mâle, occure
Transformation en un être au caractère antinomique de son origine
Reprenant l’excellence et l’essence du mal…
Il devient un inhumain post mortem
Ainsi, la fidélité lui devient un concept inconnu
Et l’adultère lui devient ce qu’il a de plus cher
L’affection lui prend une autre signification
Représentée par le stoïcisme latent et patent de ses sentiments
L’amour, au sens le plus pur, fait place à l’hédonisme
Et la générosité s’efface sous l’égoïsme
Son insensibilité fige les fenêtres de l’âme
Pour que ne transparaisse, ni émotion, ni larme
La flamme vire à la flemme d’aimer de manière subreptice
Et l’idée que les relations n’en vaillent plus la peine émerge tant elles en deviennent supplices
Cependant il est important de préciser que cet état n’est pas absolument définitif
Et que cette mutation empirique peut être traitée, mais seulement par des soins palliatifs
Car l’élément déclencheur, symbolisé par la trahison, a pris l’effet d’un catalyseur
Plongeant de manière accélérée sa structure affective dans l’incertitude, l’insécurité et la terreur permanente
La solution n’existe donc pas, mais les symptômes peuvent bien être atténués
Par des analgésiques sentimentaux…appelés temps ou autre divinité