Je sais mais je ne pouvais résister à vous faire partager l'info .

Flics et sexe en uniforme(08/10/2008)

© D.R.

Lire aussiLes 3 policiers "échangistes" ne sont pas de Rhode

Des policiers en service obtiennent fellations et gâteries lors d'une soirée échangiste à Anderlecht

BRUXELLES Le comité P et la police de Rhode-St-Genèse enquêtent sur des faits incroyables qui se sont déroulés il y a 10 jours, en présence de trois policiers, lors d'une soirée organisée dans un bâtiment isolé loué pour l'occasion au boulevard Industriel, à Anderlecht. La police de Rhode confirme. La présence de ces policiers en tenue a choqué, s'agissant en effet d'une soirée... échangiste.

Les participants n'en ont pas cru leurs yeux lorsque, avec ses deux collègues, le troisième, qui avait bu, s'est laissé séduire, sur la piste, par une femme blonde qui s'est agenouillée, a ouvert le pantalon et administré une fellation d'une demi-heure au représentant de l'ordre en uniforme, devant l'assistance médusée.

La patrouille fut appelée pour une intervention. Après quoi, les policiers sont revenus vers minuit 30, ont bu au bar et mangé à l'œil. L'organisateur de la soirée, qui semblait souhaiter leur départ, n'a pu empêcher que 2 reviennent vers 2 h du matin, en civil, mais tout le monde les a reconnus. Et ça s'est terminé avec deux flics nus se livrant comme les clients sur la piste à des actes sexuels mélangés.

Si la vie privée des gens ne regarde personne, les participants à la soirée libertine qu'organisait Swingbel sont choqués d'avoir vu 3 policiers en uniforme, et donc en service, exciper de leur qualité pour entrer gratuitement, consommer à l'œil buffet traiteur et boissons (vodka, whisky...), enfin se livrer à un spectacle peu compatible avec la fonction.

Ces soirées privées s'organisent depuis des mois en Région bruxelloise. Les participants sont prévenus du lieu au dernier moment. Celle du samedi 27, par exemple, devait se dérouler au bois de la Cambre.

C'est au dernier moment que l'adresse du 7 boulevard Industriel a été communiquée : mais les policiers savaient ! Les 3 sont arrivés vers 23 h. Ils ont bu; deux ont dansé. Ils ont prétendu qu'ils "n'étaient pas de la zone" (donc pas de la zone Midi, NdlR), mais "de Rhode-St-Genèse" . Des trois, le plus grand ("1 m 90, mince, 30 ans ") s'est intéressé aux arguments d'une jolie blonde. Selon les participants, le policier "semblait très fier" de sa conquête jusqu'au moment où celle-ci s'est agenouillée et lui a administré une lente fellation, sous le regard de tous. "Le spectacle a duré une demi-heure" et le policier "semblait apprécier ".

Selon nos infos, le chef de zone de Rhode-St-Genèse, le commissaire Willy Van Duffel, a été informé ainsi que le comité P. Enquête rondement menée : il est déjà certain que les policiers prétendument de Rhode provenaient d'une autre zone. "Nous sommes en train de les chercher. Nous avons des éléments. Nous ne pouvons rien dire. "

Environ 200 échangistes avaient payé 100 € (homme) ou 130 € (par couple, et c'était moins cher pour les femmes seules, dont des prostituées) pour cette soirée gratinée qui tint ses promesses.





Gilbert Dupont

© La Dernière Heure 2008

Il s'agissait peut-être d'une observation participante ;;;;-)

ou de petits malins qui se sont déguisés en flics pour ne pas payer la PAF.

jyl a écrit:

Il s'agissait peut-être d'une observation participante ;;;;-)

On devrait s'y mettre aussi car il paraît que tout bon criminologue doit tout tester.

Des fétichistes de l'uniforme ; il y a peut-être des affaires à faire avec nos veilles loques alors .........

Euh, excusez-moi...

Tiens, vlà une chouette idée pour mon mémoire... "La police et le sex"

Seilim! On sait qu'c'est toi!!!!

Et je parie que tu vas opter pour de l'observation participante!!
Ha les flics....

suite de l'affaire, l'article de ce 09/10/2008..... DH



Sexe en képi : des flics d'Uccle !


Au menu de la soirée, sexe et... pilons de poulet

BRUXELLES C'est dans les rangs de la police locale d'Uccle, Auderghem et Watermael-Boitsfort que s'oriente l'enquête visant à identifier les trois policiers en uniforme qui, dans la nuit du samedi 26 septembre, entre 23 h et 3 h du matin, ont profité de leur situation pour participer à une soirée échangiste à Anderlecht dans un bâtiment isolé, 7, boulevard International. En fait, un des policiers - le grand "de 1 m 90, mince, d'environ 30 ans" - est identifié et la police de Rhode-Saint-Genèse n'en fait plus mystère, elle affirme "posséder des éléments matériels, y compris photographiques".

C'est dans cette soirée libertine que ce policier se serait fait administrer une fellation "d'une demi-heure", par une jolie blonde, devant les convives. Et convives est le mot puisqu'un plantureux buffet régalait les participants qui avaient payé de 65 (femme seule) à 130 € (couple).

Nous avons retrouvé le menu proposé par l'excellent traiteur : il s'y trouvait des... pilons de poulet. Selon le chef de zone de Rhode-St-Genèse, le commissaire Willy Van Duffel, les policiers, si les faits se vérifient, risquent des sanctions disciplinaires et judiciaires pour avoir tenté d'échapper à leur identification "en se faisant passer pour des policiers d'une autre zone".

Selon des témoins, les policiers qui se vantaient devant les autres de n'avoir rien payé, ont aussi bu (vodka et whisky, en quantité) et mangé à l'œil. Entre le homard du chef, le foie gras, les crevettes nordiques, les abricots au crabe et le melon au porto et au jambon Serrano, le buffet proposait encore du "saté de poulet et sa sauce d'amour".

Un autre policier était plus âgé et plus petit, la quarantaine et les cheveux poivre et sel. L'adresse avait changé au dernier moment mais la patrouille qui, via le ring, n'arrivait pas de très loin, savait parfaitement l'heure et l'endroit. Selon nos infos, pour l'un d'eux au moins, ce n'était pas la première participation.

Dans ces soirées de sexe liées à Belswing, les organisateurs, privilégiant la discrétion, travaillent sous des noms codes comme El Padrino (Le Parrain), le Doc et Orchidée.

Un participant exprimait son témoignage hier matin sur le site dh.be : "Ils (les policiers) n'ont fait aucune menace ni intimidation pour y rester. Ce sont les participantes qui ont insisté pour qu'ils restent. Mais franchement, après toutes les heures sup qu'ils effectuent et leurs primes qui ne sont pas payées, qu'ont-ils fait de mal ?" Un lecteur ajoute : "N'est-ce pas ça, la police de proximité ?"

Dans sa vie privée, chacun fait ce qu'il veut. Dans les heures de service et sous l'uniforme, c'est différent.

Gilbert Dupont

Bon voilà la suite de l'affaire : Policiers libertins: la piste d'un coup monté(11/10/2008)

Les policiers de la soirée libertine pourraient avoir été dénoncés par des... collègues

ANDERLECHT Hier, plusieurs policiers de la zone Midi étaient entendus par le Contrôle interne : deux le matin, deux l'après-midi. Il s'agit des policiers qui, le 27 septembre, ont été présents à cette soirée libertine organisée en face de Viangros, dans le zoning d'Anderlecht. Il n'y avait pas trois policiers mais quatre de la seule zone Midi, trois en uniforme et un quatrième comme client (ce qui relève de sa vie privée).

La soirée avait attiré environ 220 personnes des deux sexes dont plusieurs autres policiers en civil d'une autre zone bruxelloise et de la police fédérale : le bâtiment situé 7, boulevard International dispose de caméras qui fonctionnaient.

La plupart des participants l'ignoraient, mais ils ont été filmés. Les films existent - ainsi que des photos prises par des GSM - et les enquêteurs les possèdent.

Cette enquête cherche aussi à déterminer comment, par qui et pourquoi l'affaire a été révélée au comité P et à un média, entre autres. L'hypothèse d'un coup monté - au départ de faits réels mais exagérés - n'est pas écartée, et les suspicions visent des policiers : les policiers en uniforme pourraient avoir été dénoncés par des... collègues qui étaient présents, pour un motif qui, à ce stade, échappe toutefois. Le déballage arrive via une dénonciation anonyme; celle-ci a fait l'objet d'un examen attentif. Tant le fond que la forme, l'emploi de termes précis mais exacts et typiques au jargon policier, la façon de décrire le policier de +/- 190 cm, de situer les faits à 0 h 30 et de s'adresser au chef de zone de Rhode, le divisionnaire Van Duffel Willy, trahit la main d'un policier.

Mais les enregistrements des caméras montrent aussi que les accusations contre les trois policiers ont été forcées. Un des policiers en uniforme, par exemple, affirme qu'il n'a pas mis les pieds dans la salle et les enregistrements montrent effectivement qu'il a fait les 100 pas en attendant ses deux collègues.

Quant aux deux, l'un explique qu'à un moment une fille a en effet voulu défaire son ceinturon et abaisser sa braguette, mais il l'a stoppée et il jure qu'il n'y a pas eu fellation, contrairement à ce qui est dénoncé au comité P. Et ils n'auraient pas bu d'alcool, "seulement un Red Bull" (déclaration hier). Et ils sont revenus dont une fois en service alors qu'ils n'avaient pas à le faire, puis encore vers 2 h du matin, comme clients, mais leur service était terminé, ils s'étaient changés et douchés et étaient en civil, et un des trois, contrairement aux deux collègues, est sagement rentré chez lui.





Gilbert Dupont

© La Dernière Heure 2008

Euh, excusez-moi...

Je le jure, je n'y suis pour rien...