Je propose de faire une petite séance brainstorming pour ceux qui doivent repasser cet examen. Ca permettrait qu'on échange nos idées sur le texte, d'envisager les questions qui pourraient être posées, etc.
Dites moi si ça vous intéresse et on trouvera un moment pour se réunir. Bien entendu, il faudra que tt le monde ait déjà au moins lu le texte et un peu bossé dessus.

oui c'est une très bonne idée, il faudra juste qu'on trouve un moment qui arrange tout le monde...

i'm in !!

Salut,
Je suis partant aussi quand ça vous arrange.

Bon je vais proposer une date alors disons le vendradi 28 à 12h devant les valves c'est ok pour vous?
Je précise il faut au moins avoir lu le texte et avoir des trucs à dire sinon ça sert à rien les poulets.

Coucou,
pour moi la journée pas possible car je travaille tous les jours sauf le mercredi.
Donc ce serait possible mercredi (12) ou jeudi soir (18h) ?
Sinon j'enverrai à Coline mes remarques et si vous pouviez faire un feedback sur le forum ça m'aiderait beaucoup.
Merci

Moi ça me va aussi mercredi 12h si y a pas d'autres nouvelles d'ici là on fait ça mercredi 12h alors ok?

pitié... par mercredi, j'ai exam jeudi matin, pq pas jeudi soir, vendredi, samedi ou dimanche?

pour moi jeudi soir ok. après je trouve cela un peu trop proche de l'exam non ?

ça m'arrange n'importe quel jour entre 12h à 18h à l'exception du Vendredi.

que fait-on alors ? samedi midi

On va jamais y arriver. lol. Moi jeudi soir pas possible j'ai examen à 18h ou alors après mon examen genre vers 19h20? ça arrngerait tt le monde?

pour moi jeudi soir c'est parfait. Mais si on va y arriver, dites si ca vous arrange vers 19h20.

Pas pour moi, petits loups chez nous cette semaine, donc en soirée c'est mort. Mais si l'un de vous peut faire un rapport de ce qu'il s'est dit, alors tout va bien :-)

alors qu'es ce qu'on fait ? on fait ca jeudi soir avec rapport sur le forum après ? ou on fait ca un autre moment (samedi midi) ?

on fait ça jeudi soir vers 19h20 (logiquement mon examen dure max 1h) et pour ceux qui savent pas venir on fera un rapport de ce qui a été dis sur le forum voilà.
Jeudi 27/08 à 19h20 devant les valves de crimino

ok pour jeudi

A tout hasard, une personne qui a réussi cet exam et qui dispose encore de son brouillon pourrait le poster sur le forum afin d'avoir qqch de concret sur lequel basé notre analyse approfondie du texte?

dsl plus rien mais je me rappelle avoir bcp insister sur les réf à la méthodo, genre note en bas de page, la cohérence durant tout le texte de l'auteur vis à vis de la méthodo. genre je me rappelle avoir dit que dans sa conclusion (j'avais choisi la texte français) l'auteur se contredisait d'un point de vue méthodo.j'espère que ça t'aide un peu...

ok merci :-)

Pour ceux et celle qui passent demain et qui auraient été trop mous pour aller voir ce que palidonie voulait dire, en voici une définition:

Académie française, 8ème édition

Définition 1 :
Rétractation de ce qu'on a dit. Ce discours, où il a renié toutes ses précédentes déclarations, est une honteuse palinodie.

Bon voilà pour la petite réunion ce qu'on avait entre autre relevé:

- l'auteur n'est pas assez objective. Parfois elle affirme des choses mais on ne sait pas trop où elle va les chercher.
- texte pas scientifique pour un sous :-D
- selon nous, on a l'impression qu'elle a un postulat de base qu'elle tente de justifier par des exemples isolés qu'elle pêche dans son échantillon. En gros elle adopte un démarche déductive alors qu'elle devrait adopter une démarche inductive puisqu'elle étudie le parricide à travers des affaires jugées aux assices.
- on avait remarqué le titre était fort centré sur l'inversion des rôles qu'elle développe dans le texte.
- elle ne parle pas assez de sa méthodologie
- pour moi, on est dans le paradigme du passage à l'acte et non dans celui de la réaction sociale. il y a une dérive étiologique de la justice dans le cadre de l'inversion des rôles. attention puisque l'histoire de la justice pénale se fait logiquement dans le cadre du 2eme paradigme de la réaction sociale. on étudie la criminialisation et non la criminalité.

Bon alors j'attends vos commentaires et vos compléments

Sinon pour ceux qui se lèvent tôt, certain on prévu d'être là à 7h30 pour encore parler du texte voilà.

effectivement elle se trouve bien dans le deuxième paradigme car j'ai été relire ce qu'elle m'avait dit lors de la visite des copies. L'auteur cherche surtout le mobile du crime (l'enfance et l'autorité du parent) ce qui est bien du premier paradigme alors que l'histoire de la justice pénale est dans le deuxième paradigme.

Pfff il me stress cet exam

oups petite erreur.... l'auteur fait donc une analyse selon le 1er alors qu'elle devrait le faire selon le deuxième

Le texte traite des victimes de parricide. Celui-ci se trouve d'ailleurs dans un ouvrage posant la question: les victimes, les oubliés de l'histoire?

Le titre met clairement en exergue l'inversion victime- coupable traitée à la fin de l'article.

L'auteur n'expose pas réellement l'objet de son étude ni sa méthodologie: elle dit s'intéresser aux victimes de parricides, mais dans quelle mesure, comment, quelles sont ses sources exactes, echantillonnage, mode de traitement de l'information. Ainsi le texte se déroule sans que nous puissions avoir clairement en tête ce que l'auteur cherche à mettre en exergue. Ce problème est accentué par l'absence totale d'analyse inductive ne permettant pas de voir sur quoi elle se base pour tirer ses conclusions.

L'histoire de la justice pénale ne peut prétendre qu'à expliquer la criminalisation, la réaction sociale, mais la plus grande partie de son texte cherche à mettre en évidence l'étiologie tant du crime que de la position de victime. Ainsi elle pointe les conditions socio éco, les raisons du parricide, l'état névrotique des victimes... La seconde partie du texte, cherchant à pointer le traitement de la victime par le système pénale et à faire le constat d'une inversion des rôles (dont le titre est chargé) relèverait bien d'une démarche historienne de la justice pénale si celle-ci n'était pas sous-tendue par la mise en évidence des raisons sous tendant cette inversion.

Le nombre d'exemple apparaît comme trop faible et ne ils viennent pas corroborer des conclusions issues d'une analyse, mais semblent simplement venir illustrer des éléments que l'auteur, arbitrairement?, choisit de pointer.

Bon nombre de références sont faites à des éléments moraux qui n'ont en aucunes manière leurs places dans une démarche historienne et scientifique. Cf. notes de bas de page. Une remise en contexte de la perception du parricide à l'époque des données traitées est certes nécessaires mais ne devraient pas se baser sur de telles spéculations. Elle conclut d'ailleurs elle-même que la seule base sur laquelle s'appuyer est le droit.

Sa conclusion me heurte. D'une part parce qu'elle apparait comme la partie du texte la plus emprunte de sciences et d'objectivité, d'autres part parce qu'elle n'est pas cohérente avec la substantifique moelle du texte: essentiellement basée sur l'étiologie du crime et de la victime.


Pour finir, et en rapport avec cela, le titre ne colle qu'à cette maigre partie traitant de la réaction judiciaire et du traitement par le système pénale de la victime, et n'est en rien représentatif du contenu concret de tout le texte.


Voila mnt, je fais copié collé de ca, et je lui tape le tout à l'exam. hihih

Salut!
On m'a dit que les résultats de l'examen d'hier sont déjà affichés aux valves.

Ouaip si j'ai bien vu y a pas d'échecs mais les points se situent entre 10 et 13 donc pas fantastiques...